• CE SAMEDI 9 DECEMBRE

     

    ATELIER 210, 210 CHAUSSEE ST PIERRE, 1040 BRUXELLES 


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  • En 2007, nous fêterons les 40 ans de la Musique Funk.
    Afin de célébrer dignement cet événement, Radio Nova, MuziQ, Funk U, Fonkadelica, Funkysize et Wegofunk sont heureux de s'associer afin de présenter :


    1967 - 2007 : 40 Ans de Funk
    L'Agenda Officiel de la musique Funk en 2007


    Tout au long de l'année, dans le cadre des 40 Ans de la Musique Funk et de 2007, Année de la Musique Funk, un collège de spécialistes sélectionnera les événements (concerts, soirées, expos, etc.) en relation directe avec cet anniversaire. Ces événements, une fois sélectionnés seront ajoutés à l'Agenda Officiel puis intégrés au processus de promotion autour des 40 Ans de la Musique Funk.

    Quel intérêt pour votre événement de se trouver dans l'Agenda Officiel?
    L'objectif est de faire prendre à la musique Funk une ampleur qu'elle n'a jamais eue, de communiquer au-delà des médias spécialisés et de faire de cet anniversaire une fête grandiose.
    Votre événement dans l'Agenda Officiel, c'est l'assurance d'une promotion extraordinaire , via le website qui sera dédié aux 40 Ans de la Musique Funk, les médias participants et les mass médias.

    Comment nous proposer un événement ?
    Envoyez-nous le ou les événements que vous organisez, par mail à l'adresse 40ansdefunk@gmail.com , au moins 2 mois à l'avance. Nous vous tiendrons informés à réception de votre mail.

    Quels sont les critères de sélection (labellisation) ?
    Un événement labellisé aura pour vocation d'être en relation directe avec l'anniversaire des 40 ans de Funk et de répondre aux attentes de plaisir et de qualité du public.
    Ne seront nominés que des événements présentant des artistes ayant contribué à l'essor de la scène funk entre 1967 et 1985, ou présentant des artistes contribuant activement à perpétuer la mémoire de cette musique, ou des événements ayant pour but de contribuer à la mémoire de cette musique.

    Quelles sont nos sollicitudes?
    Toutes nos actions sont bénévoles ! Aucune contribution monétaire n'est sollicitée.
    Cependant, cet événement culturel de l'année 2007 trouvera son amplitude maximum si chacun des acteurs communique autour de cette musique. Plus l'effort sera intense, plus le public sera sensible à l'anniversaire et par là même aux événements qui y ont trait. Nous vous demandons donc de bien vouloir communiquer sur cet événement, en échange de notre communication sur le vôtre.

    Vous trouverez ci-joint les détails de l'événement.
    Amicalement,
    L'Equipe de 1967-2007 : 40 Ans de Musique Funk.

    --
    1967 - 2007 : 40 Ans de Funk
    2007 : Année de la Musique Funk

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  • KWAK'S HEAVY ROTATION OCTOBRE 2006


    +/ QUANTIC SOUL ORC. & SPANKY WILSON : I'M THANKFUL (TRU THOUGHTS). LP
    +/ PAUL MURPHY : THE TRIP (AFRO ART). 2LP
    +/ AFRODISIAC SOUNDSYSTEM feat. RAASHAN AHMAD : REVOLUTION (KAJMERE). 12 ‘'
    +/ THE ASSEMBLY LINE PRESENTS : DRUMATIZERS (ASSEMBLY LINE). 7''
    +/ MOS DEF : UNDENIABLE B/W THERE IS A WAY (GOODTREE MEDIA/GEFFEN).12''
    +/ SOIL & PIMP SESSIONS : PIMPMASTER EP (BROWNSWOOD REC).12''
    +/ PEEPING TOM Feat. DAN THE AUTOMATOR & RAHZEL : MOJO B/W PRESCHOOL (IPECAC REC). 7''
    +/ QUANTIC : AN ANNOUCEMENT TO ANSWER (TRU THOUGHTS). 2LP
    +/ V/A : THE KINGS OF DIGGING (BBE) 2CD
    +/ V/A : SHAPES COMPILATION


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  •  www.alterpresse.org

    Lutte contre l´insécurité en Haiti : Une approche yo-yo assortie d´objectifs inavoués

    Quand l´insécurité devient politiquement capitalisable, ceux qui ont
    les rênes du pouvoir risquent de l´ imposer à la société comme un mal
    nécessaire ...





    mardi 7 novembre 2006






    Débat



    Par Gary Olius [1]



    Soumis à AlterPresse le 5 novembre 2006



    Le déficit d´accès aux facteurs de
    développement humain (comme l´éducation) et la férocité du jeu
    d´intérêts entre les classes dominantes sont tels que les peuples des
    pays appauvris n´ont pas toujours les dirigeants qu´ils méritent. En
    fait, ces peuples savent pertinemment ce qu´ils veulent, mais l´ardeur
    de leur souffrance additionnée à l´urgence de leurs incommensurables
    besoins les fragilisent et les transforment en une proie facile pour
    les politiciens démagogues. Dans cet ordre d´idées, cela ne sert à rien
    de faire l´éloge de la démocratie, si l´on ne fait rien pour permettre
    aux gens d´effectuer leur choix dans des conditions optimales, car
    choisir est un acte délibéré effectué par un être conscient et apte à
    se placer à une position surplombant les murailles ou les limites que
    lui imposent ses besoins immédiats. L´extrême dénuement matériel et
    toutes les souffrances y relatives sont bien souvent les principaux
    catalyseurs qui poussent les masses souffrantes à s´envoler en amour
    idyllique avec des politiciens peu « catholiques » dont les idéologies
    et les discours sont de vrais venins pour la stabilité et le progrès
    socio-économique. Bref, disons-le sans passer par la tangente, la
    misère est foncièrement démocraticide...



    A cet égard, l´expérience haïtienne est
    typique. Au cours des deux dernières décennies on a pu constater que
    les hommes politiques haïtiens (les plus influents, surtout !) se sont
    employés à démolir toutes les institutions étatiques pour donner à « la
    rue » une force exécutoire sans limite. Ils ont habilement instauré une
    espèce d´odocratie qui leur permet de régner en maître et seigneur ; au
    nom du peuple. Ils ferment l´accès à la démocratie et font semblant de
    la chercher comme une aiguille dans une botte de foin. Cette quête - à
    jamais inachevée - de cette démocratie introuvable ne peut que
    perpétuer la transition et faciliter la déification des individus, la
    personnification de l´autorité de l´Etat et l´atrophie
    institutionnelle. Le cadre est idéal pour la culture du mysticisme
    politique et l´art de flatter les bas instincts populaires
    convertibles, au besoin, en argument d´ultime instance. Il est aussi
    propice à la gestation des plus odieuses hypocrisies et des mensonges
    les plus abjects. Dans une telle situation, les dirigeants ont toute la
    latitude pour s´enorgueillir d´être des champions de la liberté
    d´expression ou du droit à la parole, tout en s´autorisant eux-mêmes le
    droit à la sourde oreille. Hélas ! , Haïti s´enfonce dangereusement
    dans cette forme singulière de gouvernance politique et tous les faits
    tendent à le prouver. Nos dirigeants feignent d´être aveugles et
    sourds. L´environnement succombe, ils ne le voient pas. La vie tend à
    devenir impossible en Haïti, ils ne s´en rendent pas comptent. Et le
    comble, ils n´écoutent pas les cris de ces femmes que les bandits
    violent impunément à Martissant, à Soray ou à Cité Soleil, ils
    n´écoutent non plus les clameurs des parents de ces enfants, de ces
    hommes d´affaire, de ces jeunes professionnel(les), bref, de ces
    innocent(e)s qui sont kidnappé(e)s, rançonné(e)s, maltraité(e)s et
    tué(e)s.



    Les deux principaux chefs de l´exécutif
    s´arrangent systématiquement pour souffler le chaud et le froid dans
    leur prise de position sur cette brutale insécurité qui met à genoux la
    société haïtienne. On se rappelle que, sous la pression du Parlement et
    de certains diplomates, M. le Président a effectué une sortie
    catastrophique à Cité Militaire pour clamer depuis les toits en
    terrasse que les bandits n´avaient qu´une alternative « remettre leurs
    armes ou mourir ». Un mois plus tard, M. le Premier Ministre a fait
    savoir à qui bon veut l´entendre qu´il est prêt à dialoguer avec ces
    mêmes bandits. Récemment, notre Président disait, pour la consommation
    de l´opinion publique, qu´il faut tout faire pour neutraliser les
    « fabricants de malheur ». Et, comme pour se moquer de nos dirigeants,
    les bandits annonçaient, il y a une semaine la reprise de la terreur
    par la mise en branle d´une nouvelle opération baptisée « Opération
    Bagdad II ». Depuis lors, on a enregistré une remontée fulgurante des
    actes de violence. Et devant la tournure que prennent les choses, il
    faut s´attendre à une nouvelle déclaration de nos dirigeants, car pour
    eux l´insécurité peut se laisser résoudre par la vertu magico-mystique
    du verbe politique, distillé à souhait au gré de la conjoncture et en
    fonction de ce que la communauté internationale aimerait entendre.



    Il y a de quoi se confondre dans cette
    logique yo-yo utilisée par le pouvoir en place pour faire face à ce
    cuisant problème. A première vue, on pourrait dire que le gouvernement
    semble vouloir s´emmêler les pieds en s´acharnant à chercher une chose
    et son contraire. Il affirme œuvrer pour attirer des capitaux
    étrangers, susceptibles de contribuer substantiellement à la croissance
    économique du pays et à la création d´emplois durables. Mais, en même
    temps, il se montre étonnamment hésitant à créer les conditions
    minimales de sécurité sur lesquelles aucun investisseur potentiel n´est
    disposé à transiger. Il ressasse des arguments peu convaincants pour
    différer toute action concrète pouvant contribuer valablement à réduire
    le niveau d´insécurité dans le pays et dans la capitale en particulier.
    Nos dirigeants se veulent Runcimaniens et font croire - à l´instar de
    Valdés, de Ribero et consorts - que les vols, les assassinats et les
    kidnappings ne sont que le résultat de l´ampleur des inégalités qui
    existent au sein de la société haïtienne. Comme pour dire à la société
    qu´elle doit se préparer à vivre encore pendant de longues années avec
    ces formes de violence car la cause principale qui les sous-tend ne
    disparaîtra pas du jour au lendemain. Et l´aspect le plus cynique de la
    question est que tous les tenants de ce discours savent qu´au fur et à
    mesure que les bandits prennent goût à gagner des centaines de milliers
    de dollars sans effort et sans aucune forme de risque, rien ne leur
    portera à changer de comportement. Donc, inutile de chercher dans des
    postures idéologiques les vraies raisons qui poussent le gouvernement
    en place à adopter cette approche obscure pour faire face à
    l´insécurité ; car qu´on soit de gauche ou de droite on doit savoir
    qu´il faut réagir avec fermeté quand des situations franchissent ou
    tendent à franchir le seuil de l´inacceptable. Il faut voir deux choses
    dans les appels récurrents au dialogue avec les bandits. Primo, c´est
    une stratégie qui traduit un mépris et une insensibilité caractérisés
    pour les innombrables victimes de l´insécurité et secundo, il y a aussi
    là-dedans un calcul politique de court et de moyen terme.



    On ne sait par quelle démence
    idéologique, certains osent affirmer que le phénomène de kidnapping en
    Haïti est une autre dimension dans la manifestation de la lutte des
    classes. Les personnes victimes, disent-ils sans plaisanterie, sont
    soit de la bourgeoisie soit de la petite bourgeoisie ; donc des ennemis
    du peuple. En vérité, ces « marxistes » enténébrés, aimant à la folie
    l´illustre penseur (Marx) tout en n´ayant rien compris dans sa pensée,
    le gratifient involontairement d´une seconde mort. L´interprétation
    maladroite de la théorie de la lutte des classes (telle que nous le
    rapportons), nous l´avons entendue pour la première fois de la bouche
    d´un « prof » d´université. Nous avons été franchement abasourdi. A
    l´entendre, c´était comme si les fils du peuple s´étaient tous
    constitués en une armée de kidnappeurs pour marcher à l´assaut de la
    bourgeoisie et de ses alliés à coup de séquestration, suivie de
    libération contre rançon ; question de provoquer - à marche forcée -
    une translation des patrimoines financiers des classes possédantes aux
    classes défavorisées. Cette lecture artisanale des choses nous a
    longtemps préoccupé jusqu´à ce que nous arrivons à nous rendre compte
    qu´il n´est autre que le dual de l´argument tenu par ceux qui disent
    que le kidnapping, dans sa version haïtienne, se justifie par les
    inégalités sociales.



    Tout compte fait, il fallait bien se
    rendre à l´évidence que la MINUSTAH de (Gabriel) Valdés, de (Heleno)
    Ribero et consorts s´est inscrite aussi dans cette lignée-là et il faut
    comprendre, du même coup, pourquoi l´actuelle équipe au pouvoir,
    bénéficiaire par ricochet des retombées politiques de cette vision, a
    du mal à s´en débarrasser. La croyance en de telles bizarreries rend
    inévitablement insensible aux douleurs des victimes, car on finira par
    penser, en fin de compte, que celles-ci ne font que recevoir leur juste
    châtiment pour avoir contribué à laisser les bidonvilles dans la
    crasse. Cette croyance incite aussi au mépris de tous ceux ou toutes
    celles qui ont été kidnappé(e)s, torturé(e)s, violé(e)s ou tué(e)s
    parce qu´ils (elles) sont des ennemis du peuple. En ce sens, dialoguer
    avec les bandits entre dans l´ordre normal des choses puisqu´ils mènent
    un « juste combat »...



    L´autre pan de notre hypothèse est que
    la stratégie de l´exécutif s´inscrit dans un calcul politique égoïste.
    En effet, ce n´est plus un secret de polichinelle qu´autour du
    Président il y a une lutte acharnée pour sa succession. Monsieur le
    Premier Ministre, tout le monde le sait, porte en lui une vocation
    présidentielle irrépressible. En meeting public comme en audience avec
    ses proches, il ne rate aucune occasion pour la manifester, sachant que
    son chef l´a déjà choisi in petto. C´est un désir qui le tabasse comme
    une démangeaison dans un quelconque endroit du corps peu accessible aux
    ongles. Le contenir, paraît-il, lui fait plus de mal que de se laisser
    aller - sans retenu - aux manœuvres peu orthodoxes qui l´exposent à la
    risée des observateurs attentifs. En fait, ce n´est pas un problème en
    soi qu´un homme intellectuellement bien formé nourrisse l´ambition
    d´être Président de son pays. Cela pourrait même témoigner d´un sens
    élevé du sacrifice. Mais ce qui n´est pas compréhensible c´est
    l´acharnement de notre chef de gouvernement à marchander les bonnes
    grâces des bandits de grand chemin dans l´espoir de mettre à son
    service leur « force de frappe » à l´occasion des futures joutes
    présidentielles ; alors que, dans le contexte actuel, on s´attendait
    plutôt à ce qu´il fasse montre de sa capacité à concilier éthique,
    patriotisme éclairé, sens élevé du devoir et stratégie politique pour
    accéder au fauteuil convoité.



    Poursuivant aveuglement son instinct de
    déraison politique, il a fait feu de tout bois et a juré par les grands
    dieux pour faire croire à tout le monde que leur décision d´intégrer,
    Samba Boukman, un présumé criminel, dans une commission aussi
    importante que la CNDDR, est la meilleure de toutes les options
    envisageables. Aussi étrange que cela puisse paraître, des gens réputés
    éclairés l´ont fermement appuyé dans cette démarche. Mais, advenant que
    l´on accepte pour vraie cette façon de faire, on pourrait pousser
    encore plus loin le ridicule en créant d´autres structures du même
    genre et en y intégrant de sinistres personnages comme Amaral,
    BlackTouTou, TiLou, YoyoPiman, TouMouri, bref, tous ceux-là qui ont
    constitué le haut commandement de l´Opération « Bagdad I » et qui se
    sont rendus célèbres pour les atrocités qu´ils ont infligées à la
    population haïtienne. Ainsi, pour la consommation de la communauté
    internationale et des bailleurs de fonds, on verrait la ré-affectation
    de ces « guerriers intouchables » à des taches leur permettant de jouir
    d´un repos « bien mérité ». En contrepartie, ils accepteraient le
    respect d´une trêve pour une durée négociée. Et, pour le malheur de la
    démocratie, on constatera la re-mobilisation de ces seigneurs du crime
    à l´approche des élections présidentielles de 2010. Enfin..., même les
    plus incrédules pourront constater jusqu´où peut aller un politicien
    haïtien quand il se laisse emporter par un désir immodéré du pouvoir.



    Contact : golius@excite.com




    [1] Economiste et Doctorant en Gouvernement et Administration Publique









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  • STRICTLY NICENESS LE SAMEDI 18 NOVEMBRE

    Péniche ELIANE 1210 Bruxelles (juste sous la grue)

     

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